A titre d’exemple, la proportion d’espèces marines menacées d’extinction est passée de 18% en 2000 à 11,4% en 2019. Les efforts à faire sont immenses, mais l’océan n’est pas encore irréversiblement perturbé.
Venise c’est 30 millions de touristes par an. Depuis bientôt un an (le début de la crise), les rues sont désertes et la place Saint Marc est vide. L’eau est transparente. Le calme est apparent. Le coronavirus a fait chuter de manière important le ballet des vaporetti et autres embarcations qui animent en période normale les canaux de Venise. Des images et des vidéos, diffusées sur les réseaux sociaux, laissent apercevoir une lagune où il ferait presque bon se baigner, alors même que l’Italie est en proie à une crise Covid19 d’envergure.
Avec l’élection de Joe Biden, les Etats-Unis vont revenir dans l’accord de Paris. Les Etats-Unis, deuxième émetteur mondial de gaz à effet de serre (derrière la Chine), renouent ainsi avec l’objectif de maintenir le réchauffement de la planète en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels. Joe Biden a par ailleurs évoqué un autre objectif : la neutralité carbone en 2050.
C’est là qu’intervient la start-up Plaxtil qui a “adapté sa recette” de recyclage des textiles synthétiques pour passer à celui des masques qui, une fois décontaminés, mixés et mélangés, peuvent être réutilisés sous différentes formes : supports de visières anti-Covid, caches isolants ou fournitures scolaires (règles, équerres, rapporteurs, etc.).